Le 22 février ciblé pour un retour en zone orange dans la Capitale-Nationale
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Photo : Radio-Canada / Carl Boivin
Prenez note que cet article publié en 2021 pourrait contenir des informations qui ne sont plus à jour.
Si les efforts et la vigilance des résidents de la Capitale-Nationale se poursuivent pour diminuer la propagation de la COVID-19, la Capitale-Nationale pourrait basculer en zone orange dès le 22 février.
La direction régionale de santé publique vise un bilan quotidien d'environ 50 nouveaux cas et de moins de 70 hospitalisations pour basculer en zone orange. Mercredi, la région comptait 49 nouveaux cas et 82 hospitalisations.
La situation est en train de s'améliorer. Le souhait qu'on a, c'est que ces améliorations-là puissent devenir tangibles encore quelques jours
, souligne le directeur régional, Dr André Dontigny.
La situation dans les hôpitaux de Québec déterminera un passage à la zone orange.
Photo : Radio-Canada / Dominic Martel
Selon M. Dontigny, la région se retrouve actuellement sur la ligne
entre les deux paliers d'alerte.
Si l'amélioration se poursuit, si on n’a pas de recrudescence, d'éclosions [...] j'espère de tout coeur qu'on pourrait être dans une situation qui ferait que le 22 février il y ait des possibilités de basculer du côté du palier orange
Améliorations
La baisse des hospitalisations liée à la COVID-19 mène à une reprise des activités au bloc opératoire du CHU de Québec
Les salles opératoires sont ouvertes à 78 % . On a quand même repris de l'activité par rapport à un niveau d'il y a quelques semaines
, se réjouit le Dr Stéphane Bergeron, directeur des services professionnels au CHU de Québec.
Les consultations externes fonctionnent. On reçoit les patients qui nécessitent des consultations avec les médecins autour de 80-85 % en présence. Avec les rendez-vous à distance, c'est près de 90 % des activités qui ont repris
.
Parmi les 82 patients hospitalisés en lien avec le coronavirus dans la région de la Capitale-Nationale, une trentaine sont considérés comme guéris, mais demeurent à l’hôpital pour terminer leur convalescence.
Il y a une bonne amélioration, mais on doit consacrer des forces et du personnel pour ces patients
estime le Dr Stéphane Bergeron.
Avec des informations de Pierre-Alexandre Bolduc